Extrait de M. Belobeck saisi par la débauche

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Déjà, Jeanne et nous, étions tous nus quand la camériste entr’ouvrit la porte pour dire :
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Germaine vint tout près de sa bouche :
  
C’est M. l’abbé.
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Tu sais ce qui me ferait plaisir ?... tu as envie de me faire plaisir, hein ?
  
Eh bien, dis-je, qu’il rentre !...
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Bien sûr !
  
En entendant cela, la belle fille voulut se cacher, mais je la retins par les longs poils de sa motte.
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Je voudrais que tu baises Marise.
  
Croiriez-vous, l’abbé, que cette charmante enfant, la sœur de Mariette, a peur de vous !...
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Et toi ?
  
Allons donc ! dit-il, je vais la bénir... et il fit le signe de la croix sur les blanches fesses qu’elle lui tournait pour cacher sa figure.
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Moi, je vous regarderai.
  
Elle releva un peu la tête de côté pour vérifier s’il avait une tonsure, ce qui la rassura subitement. Elle fut cependant stupéfaite quand, ayant déboutonné la soutane, il retira le vit sacerdotal, empoigné à pleine main.
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Cette simple suggestion lui redonna une vigueur nouvelle qui remplit les deux femmes d’une grande admiration.
  
— Figurez-vous, l’abbé, ajoutai-je qu’elle se marie dans huit jours et qu’elle en est encore à croire que sucer une pine ou se faire plonger dans le cul, c’est très sale...
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Germaine vint s’allonger sur le côté, contre Marise qui avait collé sa bouche contre celle de Peter.
  
— Il faut pardonner quelque chose à la jeunesse, Madame, puis, peut-être, n’a-t-elle jamais aimé ni été vraiment aimée.
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Elle chercha un instant et bientôt leurs trois bouches furent unies dans un baiser bouleversant.
  
— Voyons, dit mon mari, il faut lui donner tout de suite une vraie leçon !
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Marise commençait à gémir, elle remonta soudain ses cuisses bien haut sous les aisselles du garçon et en les écartant le plus qu’elle pouvait elle lui guida la pine vers sa chatte en furie.
  
Et après avoir murmuré un mot à l’oreille de Mariette, il alla s’étendre sur le lit, la queue en l’air, que la camériste humecta de sirop d’ananas.
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Elle poussa un cri lorsqu’il la pénétra et aussitôt elle se mit à lui rendre les coups de reins qu’il lui prodiguait.
  
— Attends..., dit-elle à sa sœur, et elle lui remplit le vagin de vieux curaçao de Hollande et lui en seringua dans l’anus ; enfin, elle oignit d’huile parfumée le membre de l’abbé.
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Germaine avait de l’imagination, à défaut d’une longue expérience, elle le fit bien voir en passant derrière les deux amants qui faisaient un concert de gémissements et en leur enfonçant à chacun un doigt agile dans l’anus.
  
— Allons, maintenant, cria-t-elle, montez, vous autres au paradis !
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Après les avoir bien enculés tous les deux de ses doigts mignons, elle se mit à caresser leurs deux corps en allant de plus en plus vite.
  
Et elle pensait : « Ce que ça va lui brûler dans toutes les dépendances du cul ! »
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Peter décolla sa bouche de celle de sa compagne, et tourna la tête vers Germaine qui s’était assise sur ses talons, les cuisses ouvertes et faisait mine de lui offrir ses deux seins aux pointes dressées.
  
Elle fit agenouiller Jeanne devant le sexe de mon mari, comme dans 69 ; elle-même s’étendit entre les pieds du mâle, la bouche sous le con de sa sœur ; puis l’abbé, l’enjambant à genoux, avait le vit entre les fesses appétissantes de notre novice.
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Il allongea le bras et lui prit la tête pour l’embrasser. Elle lui rendit son baiser, puis se détacha et vint mettre sa chatte béante tout prêt de leurs deux têtes.
  
— Allons, cria-t-il, commençons ensemble à l’officier ; sans retard, l’introït !...
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Elle se masturba en grognant :
  
Tirant sur bords du trou de cul, il l’entr’ouvrit et piqua d’abord sa langue, aspirant le curaçao que, de son côté, Mariette pompait dans le con de sa petite sœur... Un frisson passa dans tout le corps de l’initiée.
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— C’est pour vous deux que je me branle ! ! !...
  
— Mais, lui criai-je, vous n’embouchez pas la ravissante pine de mon mari ?...
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La blonde cousine en entendant ces mots redoubla ses gémissements, elle se tortilla davantage sous Peter qui approcha ses lèvres du con offert de Germaine.
  
Aussitôt elle se jeta dessus et en remplit sa bouche. Je me plaçai près d’elle, debout, et lui montrai le mouvement à faire. J’allai à l’autre bout et je vis l’abbé faire son introduction douce et progressive, son poil arriva à frotter les fesses. Il jeta alors ses bras autour du corps, pour branler les tétons. Je voulus lui masser les couilles...
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Les Dieux du fleuve étaient avec eux sans aucun doute, car ils eurent la chance de jouir tous les trois ensemble.
  
Non, madame, si vous permettez ; je ne voudrais pas décharger trop vite... J’aurai du nouveau à vous conter après... Souffrez que je me recueille pour la communion. Voyez comme son cul ondule déjà... Vénus descend en elle !
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Ah ! ce que ça peut être bon ! s’écria Marise qui revint la première à la surface.
  
Il ne me restait qu’à me titiller le clitoris en suivant des yeux les manifestations voluptueuses du groupe.
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Elle fit sortir le garçon de son ventre et se glissa entre ses jambes pour le sucer avec gourmandise.
  
Oh ! comme elle jouissait, Jeanne ! la chaleur du curaçao... la langue de sa sœur... ce vit dans ses entrailles... cet autre qu’elle serrait dans ses lèvres... l’imagination si secouée depuis le matin... toute cette chair neuve au plaisir !... Elle bondissait sur la bouche de Mariette... elle arrêtait à toute seconde sa succion du vit de Maxime, pour haleter et crier, puis elle la reprend en repoussant frénétiquement le ventre de l’abbé... Mon mari partit le premier :
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Elle mangea tout, son foutre et le sien... sous ces tendres et diligents assauts, il ne tarda pas à reprendre une forme amoureuse tout à fait attachante.
  
— Avale ! avale, soupira-t-il en retenant sa tête sur le vit enfoncé jusqu’à la gorge.
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Ce lui fut d’autant plus facile qu’il pouvait admirer le spectacle charmant de la tête de Germaine qui était passée par derrière entre les cuisses de sa blonde suceuse et qui faisait courir une langue rose et pointue de sa rosette à son clitoris.
  
Quand tout fut bu, elle se redressa, respira : « Ah ! ah ! ah !... » Mais tout à coup Mariette sembla dévorer sa vulve, en même temps que l’abbé donnait un vigoureux coup de reins, qui termina l’explosion finale... Elle s’affala comme un chiffon mouillé, hurlant :
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Marise se remit à jouir et, entre deux hoquets de plaisir, tout contre la pine du jeune homme, elle murmura :
  
Ah ! je suis morte ! ah ! maman ! je suis morte !
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Chéri... va baiser Germaine... je t’en prie... va baiser Germaine... va la baiser... va... va...
  
L’abbé se retira tout frissonnant de bonheur. Le groupe s’écroula.
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Peter avait une bonne nature, il ne se fit pas prier plus longtemps tandis que Marise s’inclinait aisément vers le ventre de sa cousine qui la suçait toujours, afin d'être aux premières loges pour le spectacle d’entrée.
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Il rampa derrière la brune et lui glissa son membre entre les fesses. Il sentit les doigts agiles de la blonde qui écartaient les lèvres velues de sa campagne et lui guidaient la verge.
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En entrant il sentit la langue dardée de Marise qui lui titillait la biroute tout au long de son passage.
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Il étreignit les deux femmes en même temps, et laissa les mains de Marise courir contre ses reins.
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Elle lui enfonça soudain un doigt dans l’anus et se mit à l’agiter, il trouva cela très bon, mais une petite voix retentit, dans sa tête : est-ce que je ne deviendrais pas pédé, par hasard ?... Il laissa la réponse à plus tard et continua à pétrir les deux corps à sa disposition.
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Tout l’Olympe devait être présent sur le pont du petit bateau, pour assister à ce spectacle charmant, un jeune homme et deux belles filles en train de s’aimer sous le soleil, entre le ciel et l’eau.
  
  

Version du 18 mars 2018 à 09:51

Extrait de / Excerpt from : M. Belobeck saisi par la débauche.


Germaine vint tout près de sa bouche :

— Tu sais ce qui me ferait plaisir ?... tu as envie de me faire plaisir, hein ?

— Bien sûr !

Je voudrais que tu baises Marise.

— Et toi ?

— Moi, je vous regarderai.

Cette simple suggestion lui redonna une vigueur nouvelle qui remplit les deux femmes d’une grande admiration.

Germaine vint s’allonger sur le côté, contre Marise qui avait collé sa bouche contre celle de Peter.

Elle chercha un instant et bientôt leurs trois bouches furent unies dans un baiser bouleversant.

Marise commençait à gémir, elle remonta soudain ses cuisses bien haut sous les aisselles du garçon et en les écartant le plus qu’elle pouvait elle lui guida la pine vers sa chatte en furie.

Elle poussa un cri lorsqu’il la pénétra et aussitôt elle se mit à lui rendre les coups de reins qu’il lui prodiguait.

Germaine avait de l’imagination, à défaut d’une longue expérience, elle le fit bien voir en passant derrière les deux amants qui faisaient un concert de gémissements et en leur enfonçant à chacun un doigt agile dans l’anus.

Après les avoir bien enculés tous les deux de ses doigts mignons, elle se mit à caresser leurs deux corps en allant de plus en plus vite.

Peter décolla sa bouche de celle de sa compagne, et tourna la tête vers Germaine qui s’était assise sur ses talons, les cuisses ouvertes et faisait mine de lui offrir ses deux seins aux pointes dressées.

Il allongea le bras et lui prit la tête pour l’embrasser. Elle lui rendit son baiser, puis se détacha et vint mettre sa chatte béante tout prêt de leurs deux têtes.

Elle se masturba en grognant :

— C’est pour vous deux que je me branle ! ! !...

La blonde cousine en entendant ces mots redoubla ses gémissements, elle se tortilla davantage sous Peter qui approcha ses lèvres du con offert de Germaine.

Les Dieux du fleuve étaient avec eux sans aucun doute, car ils eurent la chance de jouir tous les trois ensemble.

— Ah ! ce que ça peut être bon ! s’écria Marise qui revint la première à la surface.

Elle fit sortir le garçon de son ventre et se glissa entre ses jambes pour le sucer avec gourmandise.

Elle mangea tout, son foutre et le sien... sous ces tendres et diligents assauts, il ne tarda pas à reprendre une forme amoureuse tout à fait attachante.

Ce lui fut d’autant plus facile qu’il pouvait admirer le spectacle charmant de la tête de Germaine qui était passée par derrière entre les cuisses de sa blonde suceuse et qui faisait courir une langue rose et pointue de sa rosette à son clitoris.

Marise se remit à jouir et, entre deux hoquets de plaisir, tout contre la pine du jeune homme, elle murmura :

— Chéri... va baiser Germaine... je t’en prie... va baiser Germaine... va la baiser... va... va...

Peter avait une bonne nature, il ne se fit pas prier plus longtemps tandis que Marise s’inclinait aisément vers le ventre de sa cousine qui la suçait toujours, afin d'être aux premières loges pour le spectacle d’entrée.

Il rampa derrière la brune et lui glissa son membre entre les fesses. Il sentit les doigts agiles de la blonde qui écartaient les lèvres velues de sa campagne et lui guidaient la verge.

En entrant il sentit la langue dardée de Marise qui lui titillait la biroute tout au long de son passage.

Il étreignit les deux femmes en même temps, et laissa les mains de Marise courir contre ses reins.

Elle lui enfonça soudain un doigt dans l’anus et se mit à l’agiter, il trouva cela très bon, mais une petite voix retentit, dans sa tête : est-ce que je ne deviendrais pas pédé, par hasard ?... Il laissa la réponse à plus tard et continua à pétrir les deux corps à sa disposition.

Tout l’Olympe devait être présent sur le pont du petit bateau, pour assister à ce spectacle charmant, un jeune homme et deux belles filles en train de s’aimer sous le soleil, entre le ciel et l’eau.




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