Extrait de Mémoires d'une nouvelle Phryné

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Version du 6 janvier 2018 à 19:20

Extrait de / Excerpt from : Mémoires d'une nouvelle Phryné.


Ce fut alors le commencement de toutes les lubricités. Sur l’ordre de ma mère, les bonnes se mirent sous la table et nous branlèrent pendant que nous continuions à boire, à nous embrasser et à nous peloter. Le monsieur me fit asseoir sur ses genoux et se mit à me branler lui-même. Il me fit des compliments sur ma gentillesse et sur la façon dont je jouissais. Il regarda mon con très attentivement et me dit que j’aurais plus tard un des plus beaux chats qui existent. Ma mère à genoux devant nous ne cessait de le peloter et de lui donner des petits coups de langue. Aussi son vit était devenu énorme et dur comme du fer, je le sentais s’appuyer sur mes cuisses.

Pendant ce temps-là, les deux bonnes, excitées par ce spectacle, se gougnottaient avec fureur sur les matelas posés par terre.

Je bandais très fortement et sentais mon vagin tout mouillé s’ouvrir et se fermer convulsivement. J’étais folle de désirs.

Tout en nous pelotant, ma mère se branlait et jouissait à perdre haleine. Le vit du monsieur était devenu plus raide que l’acier et était tout mouillé, tant il bandait.

Il me porta sur le lit, où je me mis de suite sur le dos en écartant les cuisses. Il m’embrassa le con, en m’y donnant un petit coup de langue ; puis il se mit sur moi. Ma mère prit sa pine à pleine main et la plaça sur l’entrée de mon vagin, en disant :

« Va, pousse, tu y es. »

— « Allons- y, » dit-il, et en même temps il donna un coup de cul et m’enfonça sa pine jusqu’à la matrice.

Je poussais un « Ah ! » de plaisir, car, quoiqu’il m’eût déchiré un peu la vulve, le plaisir était si fort, que je ne sentais pas la douleur. Ma mère, accroupie à côté de nous, se branlait d’une main et enfonçait un doigt de l’autre dans le cul du monsieur.

« Ah ! Que c’est bon ! » disais-je tout en me tordant sous lui, « Va, va toujours, enfonce-le bien, pousse, pousse encore, je jouis ! Ah ! Ah ! »

La jouissance devint tellement forte, que je ne pus plus parler, mais je poussais encore un petit cri de plaisir à chaque coup qu’il me donnait. Il ne tarda pas à éjaculer et me lança jusque dans la matrice un jet brûlant qui me secoua comme une secousse électrique. Je me crispais sur lui, le serrant dans mes bras et dans mes jambes, me tordant en donnant des coups de reins nerveux de toutes mes forces. Je poussais un dernier cri, et nous restâmes ainsi enlacés quelques instants. Puis enfin il se dégagea, et je vis sa pine diminuée sortir facilement de mon vagin. Ma mère prit alors sa place et me posant son beau chat sur la bouche, elle se mit à me lécher le con, avalant gloutonnement le mélange de sperme et de sang qui me couvrait en partie le ventre et les cuisses. Je lui saisis le bouton avec mes lèvres et me mis à le sucer tout en le caressant de la langue ; elle ne tarda pas à jouir.



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