Extrait de Les Mémoires d'une maquerelle

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(Différences entre les versions)
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— Le coursier jouit, il me remplit de foutre, le salaud, le salaud...
 
— Le coursier jouit, il me remplit de foutre, le salaud, le salaud...
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L’animal lançait ses semences avec des spasmes terribles. Follement excitée, j’ai demandé au larbin de cesser ses manèges auprès de la bête qui n’avait plus besoin de ses assauts et de venir me prendre.
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— Je voudrais vous baiser par devant, osa exiger celui-ci. Je veux moi aussi avoir mon plaisir et je préfère le con au cul...
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— J’ai peu de plaisir d’être baisée dans le sexe, répondis-je vexée. Je préfère qu’on me prenne par derrière...
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Le malotru ne voulut rien entendre.
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— Je n’ai eu de la journée aucun vrai plaisir, s’écria-t-il. Vous seuls vous avez satisfait vos goûts... Moi, je veux vous prendre d’une façon naturelle et honnête...
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Dégoûtée de ce rustre qui n’avait pas réussi à s’assimiler les manières des gens raffinés et qui aimait encore prendre comme les adolescents ou le pauvre monde, j’ai pensé refuser les attouchements de ce croquant quand le gigantesque larbin sans attendre ma permission me poussa dans l’herbe et — horreur ! — me viola par devant... A mes cris, Henry accourut et, arrachant un des fouets accrochés dans l’écurie, se mit à frapper son homme. Mais, celui-ci, insensible aux coups qu’il recevait sur les fesses et sur le dos, ayant sans doute l’habitude de ce traitement, continua à m’enfoncer de plus belle... Henry, excité par notre étreinte, releva les fesses de son domestique et le pénétra avec son outil bandé depuis hier soir.
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Le rustre ne pratiquait pas très mal la bagatelle et les poussées de son membre énorme qui me touchait les parois des fesses me firent râler de plaisir...
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— Viens ici, Henry chéri, m’écriai-je, laisse le dos de ce salaud et viens en moi... Je t’en supplie...
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Mon hôte fit, au début, la sourde oreille préférant les fesses de son laquais aux miennes mais, finalement, changea d’avis et vint à mon secours, Non seulement, il me prit par derrière mais profitant du fait qu’il se trouvait en face de son homme, il se mit à le gifler. A chaque ruée dans mes fesses, il lançait deux tapes sur les joues du larbin. Celui-ci criait de plaisir sous les coups et ne continuait pas moins à me violer.
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— Frappe-moi, salaud, osait-il même dire à son maître... Je t’emmerde et je baise ta putain !
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Offusquée par les audaces verbales de ce simple domestique qui se permettait de parler ainsi à son employeur (en démontrant qu’il n’y a plus de serviteurs aujourd’hui), j’ai essayé de me débarrasser de lui en le repoussant avec mon sexe. Ce fut peine perdue car le rustre était bien accroché et, à toutes mes ruades, répondait par d’autres mouvements qui le ramenaient en moi. Je n’arrivais plus à garder la distance devant ce paysan qui, brusquement, se mit à écarquiller les yeux, à me serrer et à me remplir de son foutre de brute. Il me prenait ainsi pour sa boîte à ordures. Je l’ai laissé faire mais, à un certain moment, profitant de sa faiblesse après l’amour, j’ai réussi enfin à m’arracher à ses bras amollis...
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Version du 6 décembre 2018 à 20:12

Extrait de / Excerpt from : Les Mémoires d'une maquerelle.


Le membre du cheval devait bien mesurer autant que dix bouts d’homme fortement outillé...

— Oserez-vous vous faire prendre par un pareil instrument ? me demanda Henry.

— Non, dus-je avouer.

— Pourriez-vous, au moins, le caresser avec vos deux mains ? Je vous paierai un bon prix si vous arrivez à le faire jouir en le masturbant, tandis que moi je l’enculerai.

Je voulais bien, par pure curiosité, frotter le sexe monstrueux avec mes deux paumes. Avec beaucoup de délicatesse je me suis mis à cajoler l’instrument du cheval arabe... La bête frémissait sous mes attouchements adroits et sous les poussées du vieillard qui continuait à l’assaillir par derrière. Voyant que j’arrivais à mes fins, devant la beauté purement abstraite de l’instrument équestre, je me suis excitée et j’ai commencé à le sucer dans la mesure où l’étroitesse de ma bouche me le permettait. Je formais avec mes lèvres détendues un joli cercle autour du bout en l’empêchant avec mes mains de s’enfoncer trop en avant car je craignais qu’il me crève les joues. Brusquement, je sentis le cheval se cabrer. J’ai eu alors la présence d’esprit de retirer ma bouche. Sans ce mouvement, j’aurais sûrement été étouffée par le déluge de foutre que le cheval me lança... Ainsi je reçus, simplement, en plein visage le liquide de la bête qui avait un goût de sperme humain et de fiente... Ce n’était pas pour me déplaire. Les goûts gastronomiques bizarres d’Henry m’ayant influencée, je fus très heureuse de lécher le jus gluant et mon vieil ami, voyant l’aubaine, ne tarda pas à venir prendre place à côté de moi afin de lécher le membre de son cheval.

Mon succès m’enhardit. Nous avons, mon ami et moi, ordonné à son larbin d’enfiler par derrière le cheval et tandis que je léchais les couilles de la bête, Henry suçait son membre...

Bientôt l’animal se mit à bander de nouveau. Avec étonnement je vis le vieux sadique ouvrir ses fesses pour se faire introduire le vit de son coursier. Je croyais que le dos de mon client allait claquer sous la pénétration de l’outil marron mais il résista non seulement sans se plaindre mais avec des mouvements de délice. Comme il devait me l’apprendre plus tard, Henry avait l’habitude de ce sport. Il s’était souvent fait défoncer par des chevaux et par des taureaux. Cela expliquait pourquoi des bouts humains n’avaient déjà plus d’effet sur sa jouissance. Il les utilisait plutôt comme amuse-gueules ou desserts nécessaires à la variation de son menu habituel. Tandis que le larbin d’Henry foutait le derrière du coursier, je me suis mise à sucer le sexe de mon hôte. L’ambiance érotique m’avait fait prendre plaisir à ce qui m’avait, au début, dégoûtée : le bout d’Henry. Ce membre rempli de boutons, de plaies purulentes et de saletés me sembla à ce moment un morceau de choix raffiné préparé spécialement comme un camembert pour moi. Avec délices, je plaçais mes petites dents sur les boutons remplis de pus, je les crevais et j’absorbais leur contenu comme des huitres ou des escargots. Henry criait de volupté sous chacune de mes morsures. Brusquement, je vis les jambes du cheval se raidir et j’entendis mon client crier de douleur et de volupté :

— Le coursier jouit, il me remplit de foutre, le salaud, le salaud...

L’animal lançait ses semences avec des spasmes terribles. Follement excitée, j’ai demandé au larbin de cesser ses manèges auprès de la bête qui n’avait plus besoin de ses assauts et de venir me prendre.

— Je voudrais vous baiser par devant, osa exiger celui-ci. Je veux moi aussi avoir mon plaisir et je préfère le con au cul...

— J’ai peu de plaisir d’être baisée dans le sexe, répondis-je vexée. Je préfère qu’on me prenne par derrière...

Le malotru ne voulut rien entendre.

— Je n’ai eu de la journée aucun vrai plaisir, s’écria-t-il. Vous seuls vous avez satisfait vos goûts... Moi, je veux vous prendre d’une façon naturelle et honnête...

Dégoûtée de ce rustre qui n’avait pas réussi à s’assimiler les manières des gens raffinés et qui aimait encore prendre comme les adolescents ou le pauvre monde, j’ai pensé refuser les attouchements de ce croquant quand le gigantesque larbin sans attendre ma permission me poussa dans l’herbe et — horreur ! — me viola par devant... A mes cris, Henry accourut et, arrachant un des fouets accrochés dans l’écurie, se mit à frapper son homme. Mais, celui-ci, insensible aux coups qu’il recevait sur les fesses et sur le dos, ayant sans doute l’habitude de ce traitement, continua à m’enfoncer de plus belle... Henry, excité par notre étreinte, releva les fesses de son domestique et le pénétra avec son outil bandé depuis hier soir.

Le rustre ne pratiquait pas très mal la bagatelle et les poussées de son membre énorme qui me touchait les parois des fesses me firent râler de plaisir...

— Viens ici, Henry chéri, m’écriai-je, laisse le dos de ce salaud et viens en moi... Je t’en supplie...

Mon hôte fit, au début, la sourde oreille préférant les fesses de son laquais aux miennes mais, finalement, changea d’avis et vint à mon secours, Non seulement, il me prit par derrière mais profitant du fait qu’il se trouvait en face de son homme, il se mit à le gifler. A chaque ruée dans mes fesses, il lançait deux tapes sur les joues du larbin. Celui-ci criait de plaisir sous les coups et ne continuait pas moins à me violer.

— Frappe-moi, salaud, osait-il même dire à son maître... Je t’emmerde et je baise ta putain !

Offusquée par les audaces verbales de ce simple domestique qui se permettait de parler ainsi à son employeur (en démontrant qu’il n’y a plus de serviteurs aujourd’hui), j’ai essayé de me débarrasser de lui en le repoussant avec mon sexe. Ce fut peine perdue car le rustre était bien accroché et, à toutes mes ruades, répondait par d’autres mouvements qui le ramenaient en moi. Je n’arrivais plus à garder la distance devant ce paysan qui, brusquement, se mit à écarquiller les yeux, à me serrer et à me remplir de son foutre de brute. Il me prenait ainsi pour sa boîte à ordures. Je l’ai laissé faire mais, à un certain moment, profitant de sa faiblesse après l’amour, j’ai réussi enfin à m’arracher à ses bras amollis...




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