Extrait de Le Harem de l'épouvante

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Version actuelle en date du 17 décembre 2014 à 11:42

Extrait de / Excerpt from : Le Harem de l'épouvante.


Ginette le contempla avec des yeux effarés. Ces yeux révulsés de désir, cette bouche contractée, tout ce corps tremblant, palpitant du vouloir de la possession, l’écœurait, l’épouvantait.

Giordan la lâcha brusquement.

— Viens ici, commanda-t-il.

Un dernier instinct de révolte la poussa à désobéir.

Elle ne bougea pas.

— Veux-tu venir? gronda Giordan.

Il s’élança vers elle, la saisit à plein corps et la mit sous son bras comme une enfant pas sage. Il baissa la culotte et découvrit le derrière gras et rebondi de la jolie Parisienne.

Il lui donna sur les fesses une claque sonore, suivie d’une autre et de plusieurs.

La pauvre fille se trémoussait, mais en vain. Elle dut subir jusqu’au bout, dans cette position révoltante, la fessée que lui infligeait son maître.

Quand le derrière fut rose vif, il déposa doucement la jeune fille et l’attacha sur le chevalet, à plat ventre, de façon à ce qu’elle présentât son derrière et ses cuisses. Il la débarrassa avant de ses bas et de sa chemise.

Elle se trouva ainsi toute nue, ligotée et à la merci de son bourreau.

Elle gémissait doucement.

Giordan alla prendre, dans une boîte de fer, un paquet d’orties qu’il roula en boule.

Puis, avec une grimace d’intense jubilation, il en frotta le derrière déjà préparé par la fessée précédente et qui, rendu sensible et douloureux, réagit vivement.

— Oh! grâce, ça fait trop mal.

Le bandit continua de frotter et s’attarda sauvagement à la jointure des cuisses, où la chair est plus tendre. Il semblait, à la pauvre enfant, qu’un millier de dards cuisants la pénétraient et la brûlaient.

Elle se tordait de douleur et ses liens crissaient sous ses vains efforts.

— A la cravache!

— Grâce! hurla-t-elle.

Giordan abandonna le paquet d’orties et saisit une cravache.

— Non! Non, pas ça! criait la pauvre fille, à qui tout mouvement était impossible, garrottée comme elle était.

Elle sentit venir le coup et le reçut en plein sur les fesses.

Elle sursauta violemment.

Un nouveau coup suivit.

Ce furent alors des cris, des râles, des sanglots.

Pris, soudain, de cette rage qui s’empare peu à peu de tout flagellant, il frappait un peu partout, au hasard, sur les jambes, les cuisses, les fesses, le dos. La cravache se plaquait sur la belle chair qui saignait aussitôt. Et le réseau incessant des coups s’étendait de plus en plus.

Il eut peur de l’achever et s’arrêta.

Il contempla d’un œil satisfait son ouvrage : les cuisses pourpres et le derrière saignant.

Ginette prostrée semblait évanouie.

Giordan se déshabilla en un tour de main, puis alla quérir une éponge qu’il trempa dans un baquet de vinaigre qui se trouvait toujours dans la salle en permanence.

Sournoisement il s’approcha de la jeune fille et pressa au-dessus du pauvre derrière l’éponge vinaigrée qui aussitôt dégorgea son liquide.

L’effet ne se fit pas attendre.

Un long tressaillement arqua le corps martyrisé.

Puis un épouvantable hurlement fusa des lèvres blanches, si terrible que Giordan lui-même recula.

— Ah! Ah! tu te réveilles, grimaça-t-il.

Il la détacha en un tour de main.

La victime criait toujours.

Il l’allongea sur le divan, se glissa près d’elle et, soudain brusque, violent, la prit.

Mais comme la malheureuse, à son avis, ne réagissait pas suffisamment, il lui laboura des ongles ses fesses suppliciées.

La victime bondit sous le coup de cette douleur nouvelle. Giordan s’abandonna, repu, à son propre plaisir.



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