Extrait de Croupes Sanglantes

De BiblioCuriosa

Extrait de / Excerpt from : Croupes Sanglantes.


— Maman vient de partir, me dit-elle en m’embrassant. Elle en a bien pour toute l’après-midi... Viens vite dans ma chambre...

Nous montons, et aussitôt ce sont des effusions à n’en plus finir. Bien serrées l’une contre l’autre, nous nous bécotions tant que nous pouvions, nous aspirant littéralement toutes les deux et mordant réciproquement nos lèvres à les faire saigner. Bien entendu, au bout d’un moment, dans un même geste, nos mains avaient retroussé nos jupes et s’étaient introduites dans nos culottes où elles goûtaient l’exquise sensation de palper et de caresser de douces fesses fraîches et frémissantes, tandis que nous éprouvions en même temps chacune la joie de sentir les mains de l’autre s’emparer de ses fesses nues toutes offertes et impatientes d’être complètement déculottées, cependant que nos baisers devenaient un combat de langues acharné.

A la fin, Raymonde n’y tint plus... Me courbant rapidement sous son bras, elle me descendit d’un seul coup mon pantalon et sur-le-champ me fessa à toute volée. Ah ! que j’étais heureuse de son impatience d’avoir mon derrière nu à sa disposition et de le fesser comme elle en avait certainement rêvé depuis quatre jours... et surtout quatre nuits ! Et comme je le lui tendais, le lui abandonnais de bon cœur afin qu’elle le voie bien étalé sous ses yeux et pour qu’elle le claque à son aise et le contemple rougissant, rougissant de plus en plus sous la bonne fessée qu’elle me donnait. Tout en absorbant ma correction, il me semblait admirer le spectacle que je devais lui offrir de mes deux fesses nues, toutes rouges, gentiment soulignées par ma culotte arrêtée à mi-cuisses, et de ma raie entr’ouverte le long de laquelle se promenait sans doute son regard luisant de convoitise !... Oh ! oui ! ma raie ! toute nue ! Ah ! Si l’on savait cela au collège !...

A bout de souffle, Raymonde me lâcha, me prit dans ses bras et m’embrassa fiévreusement.

— J’ai tout vu, me murmura-t-elle... Tes jolies fesses nues, bien rouges et bien chaudes, et puis ta mignonne raie qui s’ouvrait et se refermait, et puis... et puis... ce qu’elle aurait dû tout cacher, et ce qu’elle cachait si mal !...

Et tout en m’embrassant, elle caressait nerveusement mes fesses bouillantes...

Doucement je la poussai vers le lit où je la fis tomber à la renverse sur le dos. Je plongeais mes yeux dans les siens et leur regard un peu angoissé, mais surtout passionné, me disait clairement qu’elle savait qu’à présent c’était son tour, qu’elle allait se faire trousser et déculotter par moi, et que ses fesses toutes nues attendaient la belle claque sonore que rien ne pouvait plus leur éviter.

Je prenais mon temps. Lorsqu’elle fut couchée sur le dos en travers du lit, jambes pendantes, je lui saisis les mollets et d’un brusque mouvement les lui levai en l’air. Tout de suite sa jupe dégringola jusqu’à mi-cuisses. Repoussant bien ses jambes, j’aidai sa robe à descendre jusqu’à ses reins et je pus ainsi contempler ses jolis mollets, ses cuisses nues et sa croupe arrivant juste au bord du lit, toute ronde dans sa culotte rose.

— Tu vois, lui dis-je, c’est ainsi que je vais te fouetter, les jambes en l’air. Et si tu as vu bien des choses en me fessant, je crois que de cette façon je vais en admirer bien davantage...

— Oh !... fit-elle en faisant un brusque mouvement.

— Veux-tu rester tranquille, polissonne... Attends un peu...

Et je lui allongeai une bonne vingtaine de claques sur le fond de son pantalon.

— Là, maintenant, continuai-je, je vais te déculotter... C’est ça, soulève-toi un peu pour que je puisse attraper la ceinture de ta culotte... Là, voilà... Oh ! que c’est amusant, tu as un vrai pantalon de petite fille avec un bouton de chaque côté. Bon, en voici un de déboutonné... et voici l’autre... Je n’ai plus qu’à faire monter ta petite culotte le long de tes jambes... Comme ceci... et encore comme ceci... Voyons, faut-il te le laisser ?... Ma foi non, je vais te déculotter complètement... Là, écarte un peu tes pieds pour qu’il puisse passer... Bien... le voici enlevé tout à fait...

Et d’un geste, je l’envoyai promener au milieu de la chambre.

Puis me penchant :

« Voyons maintenant comment il se présente, ton derrière, ma petite Raymonde... Oh ! très bien, ma foi ! Et dans quelle posture ! Ah ! ce que j’aurais honte à ta place...

— Mais... j’ai honte...

— Oh ! friponne, va ! En tout cas tu ne fais rien pour y échapper, à ta honte !... Sais-tu qu’elles sont charmantes dans cette position, tes fesses... Et, tiens, elles sont déjà un peu rouges de la petite claquée que je viens de te donner sur ta culotte... Voyons, pour te fesser, si je te tenais par une jambe seulement... Ainsi, celle qui sera libre pourra gigoter tant qu’elle voudra, pendant que je tiendrai l’autre bien serrée sous mon bras contre ma poitrine. Là, voilà, c’est parfait... tiens, tu sens comme je la plie bien contre toi ta jambe, et dis, crois-tu qu’il est bien tendu comme ça, ton derrière ? Dis... le... crois... tu ?... le... crois... tu ?... continuai-je en commençant à la fesser à bonnes claques qui remplirent aussitôt la chambre d’un bruit éclatant !

Oh ! oui, elle était merveilleuse la position que je lui avais fait prendre, car ainsi, bien placée au-dessus de son derrière nu, la maintenant solidement par une jambe repliée sur elle, tandis que je la claquais, son autre jambe se démenait en tous sens, tantôt se rapprochant de la jambe prisonnière, tantôt s’en écartant largement, ce qui me permettait d’avoir de temps en temps des aperçus délicieux sur la « rose-mousse » de sa délicate intimité ! Ah ! qu’il était excitant de la corriger de cette façon, cette gracieuse jeune fille qui m’offrait tous, tous ses trésors cachés, et, sous l’empire de la brûlante fessée que ma main distribuait sans relâche à ses fesses nues, me les dévoilait entièrement, dans une suite de contractions et d’épanouissements qui m’inondaient littéralement de plaisir !

Interminablement je la fessai, ne pouvant me résoudre à ne plus m’enivrer de ce spectacle, et ma main, comme aimantée, montait et retombait sur une fesse puis sur l’autre et souvent au beau milieu de sa raie, dans une magnifique cascade de gifles qui empourpraient superbement le derrière nu dont les fesses sautaient, dansaient, se regimbaient, s’étalaient dans toute leur splendeur.

Pour terminer, je lui saisis les deux jambes que je pliais tant que je pus sous son ventre, et là, dominant bien sa croupe, j’achevai de la fesser en giflant de toutes mes forces son derrière cramoisi tendu à en éclater.




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