Extrait de Ma Vie Conjugale

De BiblioCuriosa.

Extrait de / Excerpt from : Ma Vie Conjugale.


Déjà, Jeanne et nous, étions tous nus quand la camériste entr’ouvrit la porte pour dire :

— C’est M. l’abbé.

— Eh bien, dis-je, qu’il rentre !...

En entendant cela, la belle fille voulut se cacher, mais je la retins par les longs poils de sa motte.

— Croiriez-vous, l’abbé, que cette charmante enfant, la sœur de Mariette, a peur de vous !...

— Allons donc ! dit-il, je vais la bénir... et il fit le signe de la croix sur les blanches fesses qu’elle lui tournait pour cacher sa figure.

Elle releva un peu la tête de côté pour vérifier s’il avait une tonsure, ce qui la rassura subitement. Elle fut cependant stupéfaite quand, ayant déboutonné la soutane, il retira le vit sacerdotal, empoigné à pleine main.

— Figurez-vous, l’abbé, ajoutai-je qu’elle se marie dans huit jours et qu’elle en est encore à croire que sucer une pine ou se faire plonger dans le cul, c’est très sale...

— Il faut pardonner quelque chose à la jeunesse, Madame, puis, peut-être, n’a-t-elle jamais aimé ni été vraiment aimée.

— Voyons, dit mon mari, il faut lui donner tout de suite une vraie leçon !

Et après avoir murmuré un mot à l’oreille de Mariette, il alla s’étendre sur le lit, la queue en l’air, que la camériste humecta de sirop d’ananas.

— Attends..., dit-elle à sa sœur, et elle lui remplit le vagin de vieux curaçao de Hollande et lui en seringua dans l’anus ; enfin, elle oignit d’huile parfumée le membre de l’abbé.

— Allons, maintenant, cria-t-elle, montez, vous autres au paradis !

Et elle pensait : « Ce que ça va lui brûler dans toutes les dépendances du cul ! »

Elle fit agenouiller Jeanne devant le sexe de mon mari, comme dans 69 ; elle-même s’étendit entre les pieds du mâle, la bouche sous le con de sa sœur ; puis l’abbé, l’enjambant à genoux, avait le vit entre les fesses appétissantes de notre novice.

— Allons, cria-t-il, commençons ensemble à l’officier ; sans retard, l’introït !...

Tirant sur bords du trou de cul, il l’entr’ouvrit et piqua d’abord sa langue, aspirant le curaçao que, de son côté, Mariette pompait dans le con de sa petite sœur... Un frisson passa dans tout le corps de l’initiée.

— Mais, lui criai-je, vous n’embouchez pas la ravissante pine de mon mari ?...

Aussitôt elle se jeta dessus et en remplit sa bouche. Je me plaçai près d’elle, debout, et lui montrai le mouvement à faire. J’allai à l’autre bout et je vis l’abbé faire son introduction douce et progressive, son poil arriva à frotter les fesses. Il jeta alors ses bras autour du corps, pour branler les tétons. Je voulus lui masser les couilles...

— Non, madame, si vous permettez ; je ne voudrais pas décharger trop vite... J’aurai du nouveau à vous conter après... Souffrez que je me recueille pour la communion. Voyez comme son cul ondule déjà... Vénus descend en elle !

Il ne me restait qu’à me titiller le clitoris en suivant des yeux les manifestations voluptueuses du groupe.

Oh ! comme elle jouissait, Jeanne ! la chaleur du curaçao... la langue de sa sœur... ce vit dans ses entrailles... cet autre qu’elle serrait dans ses lèvres... l’imagination si secouée depuis le matin... toute cette chair neuve au plaisir !... Elle bondissait sur la bouche de Mariette... elle arrêtait à toute seconde sa succion du vit de Maxime, pour haleter et crier, puis elle la reprend en repoussant frénétiquement le ventre de l’abbé... Mon mari partit le premier :

— Avale ! avale, soupira-t-il en retenant sa tête sur le vit enfoncé jusqu’à la gorge.

Quand tout fut bu, elle se redressa, respira : « Ah ! ah ! ah !... » Mais tout à coup Mariette sembla dévorer sa vulve, en même temps que l’abbé donnait un vigoureux coup de reins, qui termina l’explosion finale... Elle s’affala comme un chiffon mouillé, hurlant :

— Ah ! je suis morte ! ah ! maman ! je suis morte !

L’abbé se retira tout frissonnant de bonheur. Le groupe s’écroula.




Livres numériques avec couverture illustrée et 12 illustrations en formats PDF et ePub en vente aux Éditions Biblio Curiosa