Extrait de Les Vacances de Jeannette

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Extrait de / Excerpt from : Les Vacances de Jeannette.


Pour moi, les sens exacerbés, le sexe en feu, je n’y tenais plus; la queue de Jean frétillait dans ma main, j’achevai de faire tomber son pantalon, je l’attirai sur le bord du lit sur lequel étaient déjà couchés Georges et Léa; en un tournemain ma robe et ma combinaison furent par terre, je m’agenouillai entre les jambes de mon petit Jean, et saisissant son oiseau à pleine bouche je me mis à le sucer gloutonnement, tantôt me l’enfonçant jusqu’au fond de la gorge, tantôt faisant glisser son petit gland entre mes lèvres; cela devait lui faire du bien car il se trémoussait sur le lit, sa queue faisait des soubresauts entre ma langue et mon palais, enfin je sentis son sperme humecter ma bouche, par jets saccadés, il projetait sa liqueur que j’aspirais et avalais voluptueusement, je savais que c’était sa virginité que je buvais ainsi et j’en éprouvais une jouissance extraordinaire.


Enfin épuisé, il repoussa ma tête de ses deux mains et resta étendu sans forces et sans mouvements.


Quant à moi, je ne savais que faire pour éteindre le feu qui embrasait mes organes, je me jetai sur le lit auprès de Georges qui se trouvait ainsi encadré entre Léa et moi. Ils avaient déjà terminé, mais le garçon avait toujours sa queue raide, je me mis à la lui caresser, puis je glissai ma main entre ses cuisses, lui chatouillant les testicules et la raie des fesses.


Me prenant par la taille, il me souleva à bout de bras, je me retrouvai à cheval sur son ventre; me saisir de sa queue et l’introduire dans ma fente fut l’affaire d’une seconde, quel soulagement pour mes nerfs surexcités lorsque je la sentis me pénétrer, appuyant de tout mon poids je l’engloutis en entier et commençai à m’agiter, relevant et abaissant ma croupe sur cette délicieuse colonne de chair.


Mon amie Léa, que cette vue excitait à nouveau, s’était accroupie au pied du lit et, penchée sur nous, je sentis bientôt sa langue aller et venir, tantôt léchant la verge de Georges lorsque celle-ci sortait de ma fente, tantôt glisser dans la raie de mes fesses et venir chatouiller le trou de mon anus.


Comment décrire la jouissance que cela procure? Ma cadence s’en accentua, je bondissais littéralement sous les caresses de cette langue qui me pénétrait, tandis qu’au fond de moi s’enfonçait la queue de mon partenaire, mon bonheur décupla lorsque je me sentis inondée par plusieurs jets de sperme qui me firent décharger à mon tour.


Je me laissai tomber sur sa poitrine sans pour cela lâcher son membre qui restait enfoui au plus profond de moi-même, tandis que la langue de mon amie léchait avidement la liqueur qui coulait de nos sexes enchevêtrés.



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