Extrait de Le Pensionnat de Madame Clerval

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Extrait de / Excerpt from : Le Pensionnat de Madame Clerval.


Mme Clerval la fit sortir, propre comme un sou neuf, de la baignoire ; et comme elle avait envoyé les élèves jouer dans le parc avec l’ordre d’y rester jusqu’à l’heure du déjeuner, elle ne craignit pas, la maison étant vide, que le bruit de la correction pût être entendu. Elle essuya légèrement Marguerite, s’assit sur le sofa, lui inclina le corps sur ses genoux, lui enlaça sa souple taille de la main gauche, et se mit à claquer longuement ses magnifiques fesses de blonde. Quand elles eurent acquis cette carnation qui les faisait paraître encore plus appétissantes, elle prit une courte verge, lui donna des petits coups à la jonction des fesses et des cuisses, ce qui fit remuer tout le corps de la charmante fille ; enfin, saisissant une poignée de verges vertes et flexibles, elle la fouailla sur toute l’étendue des fesses ; cette magistrale correction acheva d’affoler Marguerite qui soulevait son cul et l’abaissait, aussitôt fouetté. Cette scène énervante prit fin par suite de la fatigue de Mme Clerval, qui assit Marguerite et, l’entourant de ses bras, l’embrassa voluptueusement. Elle la conduisit aussitôt dans la salle d’hydrothérapie, et, tandis que la belle fille se tenait les mains appuyées sur la barre de nickel, elle lui doucha avec le tuyau au jet puissant, la poitrine, le ventre, les jambes, puis, l’ayant fait se retourner, le dos, les reins, les fesses et les mollets, s’arrêtant sur la lune écarlate. Alors, elle l’essuya bien, lui donna encore quelques petites claques sur la croupe enflammée, la fit se rhabiller et l’envoya rejoindre ses camarades. Elle-même vida la baignoire et prit un bain chaud dont elle avait grand besoin pour calmer ses nerfs, car elle était dans un état de fébrile excitation.

[...] Les deux jeunes femmes, car Mme Clerval, âgée de 32 ans à peine, était dans la pleine maturité de sa beauté de brune, se décoiffèrent, se firent leurs nattes, et commencèrent à se dévêtir. Bientôt elles n’eurent plus que leurs bas et leurs chemises de jour qu’elles conservèrent. Mme Clerval ôta même ses bas et dit à Marguerite : « Voilà, je vais m’étendre sur le bord du lit ; tu me donneras une douzaine de claques sur les fesses, aussi fort que tu le pourras, et après je te dirai ce que je veux ; ne crains pas de frapper fort, personne ne peut nous entendre, car toutes les portes sont calfeutrées. »

Elle se pencha d’abord sur le vaste lit. Marguerite, qui se tenait debout à sa gauche, rejeta la chemise sur les reins et fut extrêmement émue en apercevant la magnifique paire de fesses de Mme Clerval qui attendait avec impatience que la correction commençât. Elle donna une bonne claque sur la fesse droite, puis sur la gauche. « Plus fort ! » lui dit la directrice ; elle lui en appliqua deux autres. Mais Mme Clerval, se retournant, la menaça : « Si tu ne fouettes pas mieux, je te cingle les fesses avec une cravache ! » Marguerite comprit alors que sa maîtresse exigeait une sérieuse correction ; elle gifla de toutes ses forces le beau postérieur de la jeune femme qui, la tête sur ses bras croisés, semblait éprouver un vif plaisir. Quand elle eut reçu douze claques : « Maintenant, lui dit-elle, prend le martinet et fouette jusqu’à ce que je te dise de t’arrêter. » Mais au bout de six coups des dures lanières vigoureusement administrées, Mme Clerval en eut assez : « A présent, les verges fraîches ! et fouaille-moi avec toute l’énergie dont tu es capable. » Marguerite, s’excitant à la besogne, satisfit pleinement sa maîtresse ; les cinglades augmentaient de violence et la croupe rougissait de plus en plus. Mme Clerval lui dit de cesser. Elle se releva, contempla un moment ses fesses nues dans la glace, prit Marguerite, l’assit sur une chaise, s’assit elle-même à califourchon sur les genoux de sa jeune amie, lui enlaça le cou, et l’embrassa à pleines lèvres tout en lui mettant la main sur ses fesses enflammées. Puis elles finirent le champagne. Marguerite ôta ses bas ; toutes deux enlevèrent leurs chemises et entrèrent dans le lit. Elles s’embrassèrent leurs fesses écarlates, car Marguerite portait encore la marque de la correction du matin, et restèrent un bon moment nues et excitées, enlacées l’une contre l’autre et les lèvres collées...



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